Au début de la guerre d'Espagne, La Rochelle et La Pallice sont affectés par un grand exode de civils. La situation se complique au début de la Seconde Guerre mondiale avec l'arrivée d'anciens combattants républicains dont on se méfie des idées politiques en même temps qu'ils représentent une force de travail. L'ambiguïté de leur situation est exprimée par les camps de Montguyon et de Montendre.